La très grande majorité de nous sommes pris par notre travailLes employés sont liés par subordination et enclins au rythme de la hiérarchie. Le indépendants sont entraînés par les habitudes du « tout, tout de suite de leurs clients » et du « on a toujours fait ainsi ».La mouvance du « Slow business » arrive donc comme une nécessité et une manière de survivre tout en profitant de notre plein potentiel.Ce livre était prévu comme une approche plus pragmatique de la problématique.L’explication du comment on en est arrivé là prend globalement les 80 premier pour-cent du livre. C’est de mon point de vue un peu dommage car finaliser et en venir au fait arrive sur les 10 pour-cent suivant et les dix derniers sont pour la spécificité français.La partie « Kairos » a eu un certain impact sur moi arrive en page 145.Je pense donc que le livre doit être lu plus comme une question de remise en question et expliquer que cette philosophie n’est pas neuve (ce qui pour moi à un intérêt relatif) et le coté pratique (car ayant compris que je ne pouvais plus survivre à un rythme effréné) arrive fort fort tard. Il arrive néanmoins.Mon avis est assez mitigé. De bonnes idées, pas mal de d’explications qui ne m’ont pas apporté beaucoup. Un résumé d’une cinquantaine de page aurait suffit. Je reste content de ma lecture sans être extatique.